La maladie de Parkinson est une affection neurodégénérative progressive qui touche plus de 8,5 millions de personnes dans le monde.
Les symptômes, tels que les tremblements, la rigidité musculaire, la lenteur des mouvements et les troubles cognitifs, s’aggravent progressivement avec le temps.
Certains médicaments peuvent atténuer les symptômes et améliorer la qualité de vie, mais il n’existe actuellement aucun traitement curatif.
De nouvelles recherches ont révélé qu’une hormone produite pendant l’exercice réduit les niveaux de protéines responsables des symptômes de la maladie de Parkinson.
Cette découverte chez la souris pourrait déboucher sur de nouveaux traitements de la maladie.
Selon la source de confiance de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la maladie de Parkinson, une affection dégénérative du cerveau, augmente plus rapidement que tout autre trouble neurologique. Dans le monde entier, sa prévalence a doublé au cours des 25 dernières années.
Les symptômes de la maladie de Parkinson se développent lentement, s’aggravant avec le temps, et peuvent inclure les éléments suivants :
- tremblements
- des troubles de la coordination et de l’équilibre
- une perte de l’odorat
- des changements dans la démarche
- des changements dans les nerfs qui contrôlent les muscles du visage
- des problèmes de sommeil
- des changements d’humeur, y compris la dépression
- fatigue
Il n’existe actuellement aucun traitement curatif de la maladie, mais les médicaments, l’ergothérapie, l’orthophonie et l’exercice physique peuvent en atténuer les symptômes.
Bon nombre de ces symptômes peuvent être dus à l’accumulation d’amas d’alpha-synucléine, ce qui entraîne la mort des cellules du cerveau. Une nouvelle étude sur des souris, publiée dans PNAS, a révélé qu’une hormone produite pendant l’exercice aérobie peut empêcher la formation de ces amas.